« Un beau matin, j’ai commencé à avoir la diarrhée et des vomissements. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je ressentais une forte fatigue et des douleurs », raconte Geoffroy Havyarimana, sur son lit au Centre de traitement du choléra (CTC) de Bujumbura. Le trentenaire, originaire du quartier Kamenge dans la capitale Burundaise, avant de se rendre au CTC, comme il soupçonnait le choléra, il a commencé à boire beaucoup d’eau comme recommandé lors des séances de sensibilisation.